Maen revient, avec sous le bras un premier album. Et une capacité d’indignation intacte. Souvent en colère, toujours généreux et sincère, le chanteur-guitariste refait le monde, rêve de révolte… Porté par la rondeur d’une contrebasse jazzy et les accents word d’un accordéon (dia)tonique, il raille et taille en pièces la connerie humaine ou l’hypocrisie politicienne.
Sans oublier, comme ses maîtres-chanteurs Brassens ou Renaud, que le rire est la meilleure des armes. À l’écoute des histoires qu’il nous narre, on se marre… pour ne pas pleurer.