Le conteur, à force de se répéter, oublie ce qu’il avait prévu de raconter. Arrivent alors des histoires en fonction de l’humeur, de l’envie, des besoins pressants du conteur, du vent et de là où on est (de là où l’on naît ?). C’est un tour de contes, en un peu moins d’une heure où plus... On verra bien. De toutes façons, on est ensemble et c’est ça qui compte.