Il y a quelques années, mon père Jean Dubuc disparaissait. Et nous découvrions alors qu'il nous avait laissé, à mes sœurs et à moi même, 16 volumes dactylographiés de plus de 100 pages chacun, relatant l'histoire de toute la famille.
L'un de ces écrits est entièrement consacré à un épisode marquant de la vie de mon grand-père Albert Mary Dubuc, au moment de la déclaration de guerre avec l'Allemagne, où il fut le dernier commandant du camp d'internement de prestataires étrangers de Meslay-du-Maine.