Cette variation hybride du Sacre du printemps prenant la forme d’un concert chorégraphique achèvera le triptyque engagé par (F)aune et (H)ubris.
David Drouard souhaite questionner une nouvelle fois une œuvre du répertoire, pour en révéler les résonances avec le monde contemporain, en faisant dialoguer sur scène danseuses et musiciennes. Au cœur du propos, la résistance du droit des femmes associée à une nature végétale qui reprend ses droits.
Un groupe de trois musiciennes accompagnera en live les neuf interprètes femmes, aux âges et aux parcours multiples, dans un univers rock electro. Le chorégraphe cherche ainsi à créer un lien direct entre la musique et le corps, en faisant coïncider pulsation rythmique et mouvement organique, jusqu’à parfois un effet hypnotique.