Marionnette et musique dialoguent dans un sublime poème visuel qui cohabite avec les défunts.
C’est une composition en trois actes : trois tableaux, pour trois personnages, où la création musicale tient un rôle de choix, dialoguant avec la marionnette et épousant ses mouvements. Seraient-ce, chacun à leur façon, trois métaphores du deuil et de la disparition ?
Magnifiée par la virtuosité de la manipulation et toute la puissance de l’art marionnettique, ce spectacle – créé à la Biennale internationale de la marionnette de Paris – questionne la mort pour mieux célébrer la vie. Avec beaucoup de tendresse et un soupçon d’humour noir, mais aussi une grande beauté plastique.