Création 2018 du Théâtre du Tiroir
Pour Prévert, colleur d’images et jongleur de mots, la poésie est partout, au coin des rues, au bord des lèvres, dans le pli d’un collage, elle est comme une respiration.
Il s’insurge, dénonce, sait aussi s’émouvoir devant la beauté simple du monde : un enfant, un oiseau, une fleur. Poète libre, il chante aussi bien l’amour que le désamour, le monde ouvrier comme la détresse des «sans abri». Il révèle la lumière d’humanité qui sommeille en chacun de nous. Il chante un monde nouveau qui naitra de la révolte des petites gens.
La poésie, c’est le plus joli surnom que l’on donne à la vie.
Les poèmes chantés de l’anarchiste rêveur sont mis en musique par le génial compositeur d’origine hongroise Joseph Kosma.