Michel Bourdin est installé à Belle-Île et photographie des voiliers et des régates mais pas n’importe lesquels, le Pen Duick d’Eric Tabarly par exemple.
C’est un orfèvre de la photographie argentique, ce portraitiste de voiliers travaille à l’ancienne, en retouchant parfois ses clichés au crayon pour reprendre la finesse d’une drisse (cordage).
Reconnu dans le milieu des régates, il a exposé en Italie au côté d’un autre photographe de mer Franco Pace, lors du 10e anniversaire de la disparition d’Eric Tabarly.