La vie devant soi (prix Goncourt 1975), nous invite suivre Momo, qui grandit dans le Belleville des arabes, des juifs, des noirs et des prostituées. Ils partagent joyeusement leur misre et se débattent contre la vie «parce que a ne pardonne pas» et «parce qu’il n’est pas nécessaire d’avoir des raisons pour avoir peur ».
C’est l’histoire d’amour entre un petit garon arabe et une vieille femme juive...
Ce texte écrit par l’auteur le plus énigmatique de sa génération, nous offre la possibilité, travers leur histoire, d’avoir un regard dépourvu de préjugés religieux et culturels. Le seul conflit est face la vie, les autres murs tombent.
Le témoignage de Momo soulve la question: comment trouver sa place ? Pour toute réponse, Romain Gary propose la fraternité, avec l’affirmation que seul l’amour peut donner du sens la vie.